À toi, maman, qui a eu une césarienne…

Mais personne ne t’a demandé comment tu allais.

On t’a ouverte. Mais personne ne t’a vraiment demandé : "Comment vas-tu, toi, vraiment?"

Pas juste une cicatrice.Pas juste des points.Mais un moment figé. Un cœur affolé. Un corps qui n’a pas choisi.

Tu étais là, allongée, impuissante, le ventre anesthésié et la tête en tempête.Depuis, tu avances. Tu fais ce que tu peux.Mais ton corps parle encore.

Mais entre les deux, on t’a arraché quelque chose.

Ton pouvoir. Ton repère. Ton instant.

👉 Ventre gonflé.

👉 Douleurs physiques persistantes.

👉 Tiraillements.

👉 Transit bloqué.

👉 Fatigue intense.

👉 Inconforts gastriques.Et ce sentiment de ne plus habiter ton corps comme avant…

Des gestes simples deviennent des défis.T’asseoir, tousser, rire même… tout te rappelle cette blessure qu’on ne voit pas.Et cette fatigue lourde. Ce corps qui ne suit plus.

🧡 Tu n’inventes rien. Et tu n’es pas seule.

Alors à toi, qui te sens seule dans ton corps et dans ta tête, je te le dis :

Non, tu n’inventes rien.Non, tu n’es pas faible.Tu n’as pas à minimiser ce que tu ressens.

Tu as vécu un raz-de-marée.Et tu as le droit d’en parler.De déposer ton histoire. De poser des mots sur l’indicible.De reconnecter avec ton corps. Doucement. Sûrement. À ton rythme.

Et si personne ne t’a tendu la main jusqu’à maintenant, moi je veux que tu saches ceci :

➡️ Tu as le droit de dire que c’était difficile.

➡️ Tu as le droit de vouloir guérir.

➡️ Et tu as le droit d’être accompagnée dans ta reconstruction, physique autant qu’émotionnelle.

Parce qu’on ne parle pas assez du “après”.

Du ventre qui reste tendu.De la posture qui se désorganise.Du plancher pelvien qui a besoin d’amour.Et du besoin de rebâtir doucement ta force, ta confiance et ta mobilité.

✨ Ici, on comprend ce processus.On sait ce que ton corps a vécu.Et on est là pour t’aider à te remettre en forme, à ton rythme, avec bienveillance et compétence.Pas pour te faire “retrouver ton corps d’avant”...Mais pour t’aider à reconnecter avec le tien, maintenant.

Tu as le droit de guérir. Et tu n’as pas à le faire seule. ❤️